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Zion Takana, (590 [Interprète]) Sizzla Kalonji(Interprète)
Pourquoi se rendre encore à l'heure actuelle à Kingston pour enregistrer un album reggae, quand tant d'instrumentistes talentueux sur tous les continents savent jouer cette musique à la perfection ? La réponse s'impose d'elle-même en écoutant " Human Supremacy ", le nouveau disque du Guinéen Takana Zion. " Human Supremacy " est le troisième album que Takana Zion, 35 ans, a enregistré sur l'île natale de Bob Marley. Pour concevoir les deux premiers, " Rasta Government " paru en 2011 et " Good Life " cinq ans plus tard, il n'y avait passé qu'une dizaine de jours au plus. Cette fois, il a voulu s'accorder du temps, prendre plus d'un mois pour donner forme et vie aux onze morceaux dans les locaux incontournables du studio Mixing Lab, l'un des hauts lieux du reggae. Changer de démarche a eu " un grand impact " dans la façon d'aborder la musique, juge Takana. Il s'est imprégné plus en profondeur des vibrations du pays. Lui que l'on surnomme le " Sizzla africain " depuis ses débuts discographiques au Mali en 2007, en raison de son style vocal, s'est lié d'amitié au fil des années avec celui qui fait donc figure de référent, Sizzla Kalonji. Les deux artistes se sont associés sur un titre : Energy, l'un des moments forts de " Human Supremacy ". Encore un morceau au groove particulièrement efficace ! Intituler son album " Human Supremacy " est un moyen pour Takana de rappeler que " l'être humain a été mis par le créateur au-dessus de tout, il est responsable de tout ce qui lui arrive ". Lui qui a grandi dans une famille musulmane affirme s'être " libéré de la religion depuis 17 ans " tout en ayant confiance en " l'existence d'une force supérieure ".
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Scratch(Interprète) NakSooKhaw(Interprète), DJ DRK(Interprète), Solaion(Interprète), Takana Zion(Interprète)
Une clameur qui monte, un souffle chaud qui prend d'assaut les visages et déclenche des frissons dans l'assistance, oui, le guerrier blanc est de retour. Il a remis les gants pour monter sur scène, mais s'il file bien des gauches- droites, des uppercuts et des crochets, ce n'est plus en mode hip hop qu'il le fait mais à grands renforts de rap, ragga, funk et reggae, dancehall qui bastonne, fusion qui cartonne, juste pour le plaisir de faire bouger les têtes et secouer les corps. Vous voici prévenus, c'est le retour de la boxe thaï musicale, flow épicé à la mine bien taillée contre rythmiques qui claquent, punchlines aiguisées contre mélodies mouvantes. Pas de quartier, pas de compromis, Naksookhaw est dans la place pour exciter notre curiosité, pour faire taire les langues de vipères et donner du sens à nos émotions avec ses mots engagés, écrits à l'encre indélébile trempée dans le verre pilé. Comme une invitation à prendre le large, déplacer les frontières et franchir tous les barrages, Naksookhaw, avec "Optimise", assume ses valeurs, ses envies, et pose son flow sur une vibe ondoyante, rempart magistral à toute tentation de classification, de réduction. La tête dans les nuages, les pieds dans la société, le guerrier blanc revient en force pour cabosser les têtes de pioche et caresser les camés à la rime. Nouveau chapitre, nouvelle forme, Naksookhaw déboule avec son raggap qui nous emmène à la croisée des chemins, là où les sons et les cultures se mélangent pour donner le plus beau des métissages... Après quelques années passées dans le "doux" cocon du hip-hop hexagonal, que ce soit en solo ou au sein de Full Faya et Art Maniak, Meca a choisi de bousculer ses propres lignes, préférant sortir de sa zone passée de confort pour coller au plus juste à ses aspirations, à ses envies. Ainsi est né NakSookhaw, enfant d'un monde qui ne tourne pas rond, d'une société qui privilégie les valeurs égoïstes et superficielles au détriment de l'humain. Accompagné de quatre musiciens issus de la scène reggae stéphanoise (Datune, Jah Gaia, Soul Sonics), Meca pose son flow brûlant sur des mélodies vibrantes, véhicule idéal pour transmettre sa passion de l'autre, dans toute sa diversité, sa complexité. Son raggap, sillon original mêlant flow rap et le chant reggae, bouleverse de la plus belle façon qui soit nos habitudes auditives, jetant un pont entre les sonorités et les cultures. De Saint-Etienne à la Jamaïque, il n'y a qu'un saut de puce que NakSooKhaw réalise sans heurt, sans effort apparent, aidé en cela par la présence à ses côtés du légendaire producteur Sam Clayton Jr. Après une première Naktape en 2015, "Optimise" enfonce, avec brio, le clou d'une musique qui fait sens, engagée et porteuse de valeurs humanistes fortes. Armé de sa plume guerrière et de son flow tranchant, le guerrier blanc remonte sur le ring des mots et ouvre un nouveau chapitre de son histoire déjà riche. Ouvrez votre coeur, la vibe est bonne !
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Zion Takana, (Interprète) Bunny Wailer(Interprète)
Takana Zion ambassadeur du reggae africain est enfin de retour avec un nouvel album roots/reggae qui fait hommage aux origines du mouvement. GOOD LIFE qui sortira le 27 mai chez Soulbeats Records est une nouvelle démonstration de l'artiste guinéen largement inspiré par les icônes jamaïcaines qui l'ont guidé jusqu'ici. Enregistré dans le célèbre studio Tuff Gong à Kingston, GOOD LIFE a réuni la dream team du reggae avec des musiciens comme Leroy "Horsemouth" Wallace, Errol "Flabba Holt" Carter, Lloyd "Obeah" Denton ou encore Dalton Browne. Le talentueux Dean Fraser (saxophoniste de Tarrus Riley) est aussi de la partie, le tout savamment orchestré par Sam Clayton qui a le don de dénicher les perles rares.
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